Milan. Ce nom évoque instantanément l’élégance, le savoir-faire et une mode qui transcende les tendances pour toucher à l’intemporel. La Fashion Week Printemps-Été 2026 vient de frapper, et cette saison, elle a résonné avec une ferveur particulière, marquée non seulement par les créations audacieuses sur les podiums, mais aussi par un véritable lifting de son cœur battant : le prestigieux Quadrilatero d’Oro. En tant que passionnée de mode et journaliste, j’ai eu le privilège d’assister à des défilés incontournables – Fendi, Alberta Ferretti et Missoni – et de constater de mes propres yeux cette métamorphose qui redéfinit l’expérience du luxe au 21ème siècle.

Le tourbillon de la vie moderne nous pousse souvent à avaler n’importe quoi sur le pouce, transformant le repas de mi-journée en une simple formalité. Mais si l’on pouvait transformer cette pause, souvent bâclée, en un moment de plaisir raffiné, un voyage gustatif subtil et une parenthèse bienfaisante ? C’est précisément ce que propose Koto-Koto, une adresse japonaise discrète mais essentielle, qui dédie son existence à l’art du bento, et qui plus est, uniquement pour le service du midi. Oubliez les déjeuners impersonnels, préparez-vous à une expérience culinaire pensée, vivifiante et résolument humaine.

Coucou les gourmands, les épicuriens, et tous ceux qui, comme moi, chérissent les belles découvertes et les moments d’authenticité !

Si vous me suivez un tant soit peu, vous savez à quel point j’adore fouiner, déguster, et surtout, rencontrer les passionnés qui se cachent derrière nos assiettes et nos verres. Et laissez-moi vous dire, le week-end dernier a été un véritable festival pour mes sens, une bulle d’oxygène et de saveurs qui s’est achevée hier, le 9 septembre. Je parle bien sûr du Salon Mer & Vignes qui a posé ses valises à l’Hippodrome de Vincennes ! Oui, vous avez bien lu, nos chers chevaux ont cédé la place le temps d’un week-end à une farandole de producteurs, d’artisans et de vignerons.

Et quel salon ! J’en ai encore les étoiles plein les yeux et les papilles en émoi. J’ai pris des notes, j’ai dégusté, j’ai discuté, et je suis hyper enthousiaste de vous partager mes plus beaux coups de cœur et mes impressions sur ce qui fut, pour moi, une expérience mémorable. Prenez un café (ou un petit verre de vin, c’est permis après tout ce que je vais vous raconter !), installez-vous confortablement, on part en voyage.

Oh là là mes chers lecteurs ! Accrochez-vous, car aujourd’hui, je vous embarque pour une aventure inoubliable au cœur d’une région qui m’a littéralement volé le cœur : le Pays Basque Français. Plus précisément, notre point d’ancrage a été la sublime Saint-Jean-de-Luz, une ville pleine de charme et d’authenticité, qui a servi de porte d’entrée à un univers culturel et gustatif d’une richesse incroyable.

Pour moi, chaque voyage est une quête. Une quête de saveurs nouvelles, de traditions ancestrales, de paysages à couper le souffle et, surtout, de rencontres humaines qui nourrissent l’âme. Et croyez-moi, le Pays Basque a largement dépassé toutes mes attentes, déroulant sous mes yeux curieux un tapis de découvertes fascinantes. Préparez-vous à une immersion totale, car je vais tout vous raconter, de mes coups de cœur culinaires à mes émotions face à la Pelote Basque, en passant par les symboles qui rythment la vie ici. Suivez le guide !

 Chers amis voyageurs, préparez-vous, car aujourd’hui, je vous emmène dans les rues de Paris pour vous dévoiler une adresse qui a fait chavirer mon cœur. Accrochez-vous, car il s’agit d’un véritable coup de foudre hôtelier !

Il y a des histoires que l’on nous a cachées, des figures exceptionnelles que l’historiographie coloniale a volontairement occultées. En me plongeant dans les archives allemandes et ghanéennes ces derniers mois, j’ai découvert l’incroyable parcours d‘Anton Wilhelm Amo, ce génie africain qui a révolutionné la philosophie européenne du XVIIIe siècle.

Imaginez un homme né sur les côtes du Ghana, emmené enfant en Allemagne, qui devient le premier Africain à obtenir un doctorat en philosophie dans une université européenne. Un homme qui a enseigné dans les plus prestigieuses universités allemandes, écrit des traités philosophiques révolutionnaires, et dont le nom a été effacé de l’histoire par ceux-là mêmes qui lui devaient tant.

Aujourd’hui, je veux rendre justice à Anton Wilhelm Amo, non pas comme une curiosité historique, mais comme ce qu’il fut réellement : l’un des plus brillants esprits de son époque et un pionnier de la pensée africaine en Europe.